
Le journal d'une femme de chambre
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Narrated by:
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Karine Viard
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By:
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Octave Mirbeau
About this listen
Dans le Journal d'une femme de chambre, il donne la parole à une chambrière, ce qui est déjà subversif en soi, car un domestique, et plus encore une domestique femme, n'est pas supposé penser par lui-même, ni, a fortiori, tenir un journal et écrire comme Mirbeau... Bien placée au cœur des milieux bourgeois, elle perçoit le monde par le trou de la serrure et ne laisse rien échapper des "bosses morales" de ses maîtres. Grâce à elle, nous pénétrons dans les arrière-boutiques des nantis, dans les coulisses du théâtre du "beau" monde, dont elle arrache le masque de respectabilité.
Successivement enjôleuse, charmeuse, pleine de gouaille... Karin Viard n'est pas une simple lectrice, mais une interprète transformiste qui tour à tour va devenir chacun des personnages, pour hisser l'œuvre de Mirbeau au rang de chef-d'œuvre sonore.(p) & © Frémeaux & Associés - Groupe Frémeaux Colombini SAS 2008
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Critic reviews
La presse en parle
Contemporain de Maupassant, Octave Mirbeau partage avec l'auteur de Boule de suif un immense talent de conteur. Comme si le pessimisme et l'écoeurement devant le monde mettaient ces deux normands dans une verve semblable. Les points communs abondent en effet chez ces deux nihilistes. Et les lecteurs de Lire qui se sont procurés les enregistrements des nouvelles de Maupassant lues par Robin Renucci compléteront judicieusement leur bibliothèque sonore avec Le journal d'une femme de chambre d'Octave Mirbeau. "Chapitre un", annonce celle qui, en 2000, reçut le César de la meilleure actrice. C'est comme si elle donnait le nom de la première serrure par laquelle Octave Mirbeau regarde le beau monde. Les Lanlaire, chez qui Célestine, la femme de chambre, est employée, sont "d'honnêtes gens". Il faut le dire vite. Ces honnêtes gens sont "plus infâmes que la canaille".
Jérôme Serri, LIRE
Contemporain de Maupassant, Octave Mirbeau partage avec l'auteur de Boule de suif un immense talent de conteur. Comme si le pessimisme et l'écoeurement devant le monde mettaient ces deux normands dans une verve semblable. Les points communs abondent en effet chez ces deux nihilistes. Et les lecteurs de Lire qui se sont procurés les enregistrements des nouvelles de Maupassant lues par Robin Renucci compléteront judicieusement leur bibliothèque sonore avec Le journal d'une femme de chambre d'Octave Mirbeau. "Chapitre un", annonce celle qui, en 2000, reçut le César de la meilleure actrice. C'est comme si elle donnait le nom de la première serrure par laquelle Octave Mirbeau regarde le beau monde. Les Lanlaire, chez qui Célestine, la femme de chambre, est employée, sont "d'honnêtes gens". Il faut le dire vite. Ces honnêtes gens sont "plus infâmes que la canaille".
Jérôme Serri, LIRE